Archives

Printemps 2007
Francine Savard L'autre au portrait, une amitié à propos
2 mars au 7 avril

FRANCINE SAVARD, JEAN-ÉMILE VERDIER, MARIO CÔTÉ, RAYMOND LAVOIE, STÉPHANE LA RUE

L'autre au portrait, une amitié à propos
Automne 2006
27 octobre au 2 décembre

BRUNO GAREAU

Quand les plaisirs candides trébuchent

Si les tableaux de Bruno Gareau nous font d’abord sourire, ils ont tôt fait de nous troubler. Plus on interroge l’œuvre, plus on tente d’en saisir la raison d’être, et plus la curiosité se dissipe, cédant la place à la culpabilité d’avoir pu être séduit sans préavis par de l’inconvenant.

Printemps 2006
23 mars au 22 avril

LUCE MEUNIER—DANIEL LANGEVIN—SYLVAIN BRETON

États

Outre le fait d’être picturales, les trois propositions ont en commun celui de faire du motif le point sensible des œuvres. Comment souscrire au motif du tracement, à celui de la forme, à l’icône, sans être assimilé aux multiples retour à la figuration qui suivirent le tournant de l’abstraction ?

Printemps 2005
26 mars au 23 avril

DOREEN WITTENBOLS

SEXENTRICITÉ
Doreen Wittenbols aborde la sexualité par le biais de la question du rôle, c’est-à-dire par le biais de cet ensemble de comportements que l’on a dès qu’on entre en rapport avec autrui. La pratique picturale de Wittenbols s'ancre dans les débats féministes et post-féministes.
Printemps 2001
24 février au 24 mars

CARMEN RUSCHIENSKY

GLOBES OCULAIRES

À partir d'un motif ouvrant à une série de connotations, la peinture de Carmen Ruschiensky nous entraîne dans des méandres où espace de représentation et élaboration de la surface par réseaux et sinuosités se conjuguent et se relancent.

Automne 1994
19 novembre au 17 décembre

LUC DE VETTE

REQUIEM POUR UNE CONDITION INHUMAINE

C'est avec une certaine dose d'humour et d'ironie que l'artiste Luc de Vette aborde les sujets de la peinture. Puisant dans les registres du quotidien, l'artiste s'approprie des objets familiers, usuels, voire banals et réinvestit d'un pouvoir réflexif. 

15 octobre au 12 novembre

MARTIN BORDEN

SOUS LE JARDIN

L'idée du jardin comme point de rencontre entre les mondes naturel et humain surgit du terreau fertile en images que le mythe, la science, la religion et le langage ont déposé dans notre esprit. 

Printemps 1994
12 février au 12 mars

ROBERT DUFOUR

ANALYSE D'UNE TRANSMUTATION

Robert Dufour est peintre depuis plusieurs années. Il s'est beaucoup intéressé à des sujets traditionnels de la peinture tels que le paysage, la nature morte et le portrait. Ce qui le mena à entamer une réflexion sur les valeurs sociales de ces genres picturaux.

Printemps 1993
6 mars au 27 mars

GENEVIÈVE ROCHER

UN PETIT DÉTOUR

Le "grand format" étant encore aujourd'hui la principale caractéristique du dispositif de présentation de la peinture, il en désigne donc le champ d'application ainsi qu'un travail dans la couleur. 

6 février au 27 février

CLAIRE BEAULIEU

LIENS

Ici les surfaces-objets que sont les plans étalés au mur ne sont pas des plates-formes de l'imaginaire pour une représentation, ils prennent leurs sens de l'évocation que la matière-même des matériaux provoquent.

9 janvier au 30 janvier

KEVIN DEFOREST

PEINTURE

Le langage visuel des peintures de Kevin deForest construit une atmosphère de fiction historique, d'ambiguïté, et à la fois de souvenirs culturels et personnels.

Printemps 1992
30 mai au 20 juin

BARRY ALLIKAS

EVERY THING BEING (EQUAL)

Cette installation se compose de peintures d'objets fidèlement reproduits de photographies. Présentée en trois modules distincts, chaque module traite d'un champs particulier de questionnement sur l'identité et la formation de la signification.

7 mars au 28 mars

GUY LAPOINTE — JEAN PELCHAT

FIGURES — SECOND VOLET

On comprend habituellement la figure comme le fait d'un signe iconique, d'un dessin dont on connaît et reconnaît la signification. La figure vaut ainsi pour l'image. Elle communique, transporte l'information, toute l'information. 

8 février au 29 février

MICHEL BOULANGER — FRANÇOIS LACASSE

FIGURES — PREMIER VOLET

Michel BOULANGER, François LACASSE, Guy LAPOINTE et Jean PELCHAT, décident d'exposer ensemble. Le regroupement est l'initiative des artistes qui ne défendent pas ainsi un programme, ne dénoncent rien. 

Pages